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Espérance au milieu des épreuves

Notre évêque, nous écrit : « Ayez la joie de l’espérance, tenez bon dans l’épreuve ». Il nous appelle à « consentir » aux mesures prises dans notre pays, ce qui ne veut pas « nous résigner » ! Nous avons à inventer de nouvelles manières de vivre en famille, au travail, à l’école, pendant les cours et… en Église. Nous l’avons déjà expérimenté au printemps dans diverses directions.

Trouver une manière de prier qui nous relie aux autres sœurs et frères chrétiens. Nous ne sommes pas obligés de nous joindre à ceux qui réclament à cor et à cri de pouvoir célébrer dans les églises. « Il nous faut croire, écrit notre évêque, que le sacrifice consenti, non seulement nous rend solidaires de tous nos frères et sœurs souffrants à travers le monde, de tous nos frères et sœurs chrétiens qui vivent sans pouvoir communier au corps de leur Seigneur, mais qu’il participe à la lutte contre cette pandémie qui menace l’équilibre de notre monde ». Des propositions de célébrations existent à nouveau sur le site du diocèse et dans certaines chaînes de télé. Elles nous ouvrent à la diversité de l’Église. Chaque dimanche à 11h, la messe présidée par notre évêque à la chapelle de l’Immaculée sera retransmise par Radio Fidélité et la chaine YouTube du diocèse.

Accueillir la Parole : j’aime bien ce qu’écrit Jean-Luc Brunin, évêque du Havre : « Je souhaite aider à découvrir, plus que je ne l’ai fait au printemps, que la parole de Dieu est aussi nourrissante que l’Eucharistie pour la foi. Nous voudrions aller plus loin pour faire découvrir le sacrement de la Parole. » Des chrétiens en équipe Amitié-Espérance partagent déjà par internet leur lecture de la Parole du jour. Bien des sites nous font des propositions. Et le dimanche matin en famille par exemple, il y a de quoi faire. Les responsables de l’Éveil à la foi et de la catéchèse envoient des propositions aux familles concernées.

Inventer des gestes de solidarité. Là encore j’aime bien ce que Stanislas Lalanne, évêque de Pontoise, écrit : « S’il y a quelque chose que je regrette, c’est de n’avoir pas fait assez pour les situations de pauvreté. » Le Pôle Solidarité de la paroisse propose des pistes d’attention aux autres et des pistes d’action : donner la parole à celles et ceux dont nous faisons proches parce-qu’ils sont isolés ou en précarité, recueillir et partager ces paroles. Et aussi : se soucier ensemble des besoins de ces personnes et chercher ensemble comment y répondre avec elles (à suivre).


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